Avant la dissolution de la D.R.S en 2015, le général Toufik avait laissé une feuille de route qui tracé la construction d’un immense quartier-général pour les services secrets algériens, La direction de surveillance et sécurité (D.S.S).
Attaché à la présidence de la république depuis fin 2015, le département de la surveillance et sécurité interne du pays déploie ses moyens pour la préparation d’une « ferme » au large des terres de Douéra à Alger, là ou était retenu prisonnier le défunt Ahmed Ben Bella, pour héberger le futur QG de la D.S.S. Et ce depuis 2013 et avec la collaboration active des experts de la C.I.A.
Le quartier général en question promet d’être à la pointe de la technologie. Avec la collaboration de Nokia, Ericsson et Microsoft avec d’autres géants mondiaux de l’industrie de la technologie, ainsi que toutes les ressources internes qui ont étés mobilisés, tous les ingredients nécessaires à la construction d’une réplique du Langley américain en Algérie sont présents. Sans parler des futurs DATA CENTERs annoncés au sommet africain de la cyber-sécurité plutôt cette année.
Ici nous parlons 300 hectares, nous parlons héliports, nous parlons larges labyrinthes sous-sols, nous parlons immeubles gigantesques et sophistiqués avec les technologies de dernier cri, à fin d’équiper les officiers de l’armée qui vont d’ailleurs habiter dans cette « mini ville » capable d’accueillir jusqu’à 70.000 habitants.
Avec la haute surveillance de la présidence de la république algérienne, la délivrance opérationnelle de ce complex militaire est attendue pour 2019. En attendant, ce projet demeure secret et hors de porté de tout œil égaré.